Malgré la baisse des cas de variole du singe depuis l’épidémie de 2022, le virus circule encore discrètement chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), révèle une analyse de l’Université de Californie à Los Angeles.
Publiée dans le Morbidity and Mortality Weekly Report, l’étude insiste sur l’importance de la vigilance et de la vaccination pour les HSH, car des flambées locales ont été détectées, notamment à Chicago et Los Angeles.
La variole du singe, endémique en Afrique, reste une menace en raison de la faible couverture vaccinale et d’une mauvaise connaissance des risques dans les groupes vulnérables.