La dissolution de l’Assemblée nationale a interrompu brutalement l’examen du projet de loi sur l’accompagnement des malades et la fin de vie. Bien que des articles importants, comme celui sur l’aide à mourir, aient été adoptés, la fin de la législature rend caducs ces votes.
Aucune formation politique n’a prévu de prioriser ce texte pendant la campagne ou après les élections.
Le Conseil national de la refondation sur la santé mentale, également touché par cette dissolution, est reporté à une date inconnue, montrant l’impact significatif de la situation politique actuelle sur des réformes cruciales.