Des chercheurs de l’University of Illinois ont identifié la protéine PSD-95 comme premier biomarqueur potentiel de la maladie d’Alzheimer, ouvrant la voie à des diagnostics plus précoces et à de nouvelles cibles thérapeutiques.
Leur étude sur des souris modèles a révélé que l’augmentation de PSD-95 entraîne une hyperexcitabilité cérébrale typique des premiers stades de l’Alzheimer, et que son inhibition pourrait ralentir la progression de la maladie.
Ces découvertes, nécessitant encore confirmation chez l’homme, suggèrent que les inhibiteurs de PSD-95 pourraient améliorer ou préserver la qualité de vie des patients en retardant l’évolution de la maladie.