Les composés végétaux utilisés pour traiter le paludisme, tels que les artémisinines, pourraient également être efficaces contre le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), une maladie qui affecte des millions de femmes.
Des chercheurs de la Fudan University ont démontré que ces composés peuvent réduire la production d’androgènes ovariens, une cause majeure du SOPK. Une étude préliminaire chez 19 femmes montre que la dihydroartémisinine peut régulariser les cycles menstruels et diminuer les symptômes du SOPK sans effets secondaires.
Cette découverte ouvre une nouvelle voie pour le traitement de cette condition complexe.