En 2022, plus de 1 000 contentieux liés à un défaut d’information ont été enregistrés en France, la plupart concernant des interventions médicales.
Pourtant, la loi est claire : les patients doivent recevoir une information complète sur les risques, alternatives et complications possibles avant de donner leur accord. Une signature seule ne suffit pas.
Pour se protéger et respecter leurs obligations, les médecins doivent :
- Expliquer les interventions en détail, y compris les risques fréquents et rares.
- Documenter les informations données avec une traçabilité précise.
- Encourager les patients à poser des questions, pour s’assurer qu’ils comprennent parfaitement.
Le consentement éclairé est plus qu’une formalité administrative : c’est un acte de confiance et une protection essentielle.